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Quinze mois dans l'Antarctique 1898-1899
Gerlache, Adrien de
Les Editions de l'Amateur, Paris, 2011.
In-8, format à l'italienne, cartonnage éditeur illustré en noir et blanc, 170 pp.
Nombreuses illustrations en noir et blanc in texte.
Bon état.
Livre non disponible
Le récit de cette expédition polaire d'A. de Gerlache, qui constitua un document majeur sur une zone encore largement méconnue au début du XXe siècle, avait été publié pour la première fois en 1902, chez Bulens, à Bruxelles.
En cours de voyage, la Belgica se trouve bloquée avant d'être définitivement emprisonnée par les glaces (2 mars 1898). Les explorateurs deviennent les premiers hommes à hiverner sur la banquise Arctique.
Pendant les mois d'attente, l'état-major se livre à diverses observations : vents, courants, profondeurs, analyses de l'eau de mer et de la température de l'eau, pêches pour fixer les caractères de la faune marine, météorologie, magnétisme, étude de la banquise.
Le 21 juillet, le soleil est de retour, mais la banquise est encore épaisse de deux mètres. La menace d'un second hivernage pèse sur l'équipage.
Le 31 décembre, un lac d'eau libre est aperçu non loin du navire. L'espoir renaît. Ce n'est que le 14 mars 1899, après treize mois d'emprisonnement et une dérive de 1700 miles, que le navire parviendra à rejoindre le large.
En cours de voyage, la Belgica se trouve bloquée avant d'être définitivement emprisonnée par les glaces (2 mars 1898). Les explorateurs deviennent les premiers hommes à hiverner sur la banquise Arctique.
Pendant les mois d'attente, l'état-major se livre à diverses observations : vents, courants, profondeurs, analyses de l'eau de mer et de la température de l'eau, pêches pour fixer les caractères de la faune marine, météorologie, magnétisme, étude de la banquise.
Le 21 juillet, le soleil est de retour, mais la banquise est encore épaisse de deux mètres. La menace d'un second hivernage pèse sur l'équipage.
Le 31 décembre, un lac d'eau libre est aperçu non loin du navire. L'espoir renaît. Ce n'est que le 14 mars 1899, après treize mois d'emprisonnement et une dérive de 1700 miles, que le navire parviendra à rejoindre le large.