Hoog, Michel et Legrand, Francine-Claire (dir.)
Peintres de l'imaginaire symbolistes et surréalistes belges
Liste des ouvrages

Le symbolisme en Belgique
Legrand, Francine-Claire
Laconti, collection "Belgique, art du temps", Bruxelles, 1971.
In-8, reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleur, sous son emboîtage souple, 276 pp.
Avec 139 illustrations en noir et 20 planches en couleur en hors-texte.
Bon état d'ensemble. Jaquette frottée avec déchirures marginales, livre en très bon état.
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Avant-propos - I. Un état d'âme. - II. L'aube du symbolisme pictural : Wiertz, Rops, Mellery. - III. Les Initiés : le groupe des idéalistes. - IV. Deux isolés : James Ensor et Léon Spilliaert. - V. La synthèse mystique : Laethem, carrefour symboliste. - VI. La contagion symboliste - Notes - Table des planches - Index des oeuvres citées - Notices biographiques - Bibliographie sommaire - Index des noms cités.
Conservateur aux musées royaux des Beaux-Arts de Belgique, à Bruxelles, Francine-Claire Legrand (Bruxelles, 1916- Saint-Gilles, 1995) y était en charge du département d'art moderne.
Parue en 1971, son histoire du Symbolisme en Belgique fut et demeure un ouvrage pionnier dans lequel l'auteur retrace l'histoire des tendances multiples qui se déployaient alors en Belgique. Elles les réunit toutes sous la notion unique de symbolisme. Les études menées sur le symbolisme belge se sont longtemps appuyées sur cet ouvrage novateur.
La même année, l'historienne d'art belge publiait sa première étude sur James Ensor, cet inconnu, qui fut son artiste de prédilection. Elle contribua grandement à renouveler le regard porté sur les oeuvres postérieures à 1900 du peintre d'Ostende.
Parue en 1971, son histoire du Symbolisme en Belgique fut et demeure un ouvrage pionnier dans lequel l'auteur retrace l'histoire des tendances multiples qui se déployaient alors en Belgique. Elles les réunit toutes sous la notion unique de symbolisme. Les études menées sur le symbolisme belge se sont longtemps appuyées sur cet ouvrage novateur.
La même année, l'historienne d'art belge publiait sa première étude sur James Ensor, cet inconnu, qui fut son artiste de prédilection. Elle contribua grandement à renouveler le regard porté sur les oeuvres postérieures à 1900 du peintre d'Ostende.