Huyghe, René
Hommage à Frits Lugt
Liste des ouvrages
Centenaire de Louis Gillet 1876-1943 - L'art et l'écrivain
René Huyghe, Francine Lenne
Institut de France, musée Jacquemart-André, Paris, 1976.
In-12, broché sous couverture illustrée en couleur, 117 pp.
Avec un frontispice et 7 planches en noir et en couleur.
Assez bon état.
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Introduction, par René Huyghe - Préface, par Germain Bazin - La genèse d'un critique d'art, par Francine Lenne - Vie et oeuvres - Catalogue : Première Partie : Peintures [29 n°]. - Deuxième Partie : Sculptures, documents, souvenirs [83 n°].
Ce catalogue a été édité à l'occasion de l'exposition Centenaire de Louis Gillet - L'art et l'écrivain présentée au musée Jacquemart-André, à Paris, de décembre 1976 à janvier 1977.
Figure emblématique de l'"écrivain d'art", Louis Gillet (1876-1943) collabora pendant près de quarante ans à la Revue des deux mondes (1904-1943). L'art et la littérature étrangère constituaient les deux domaines privilégiés de ses chroniques, réputées et appréciées pour leur culture humaniste. Son amitié enthousiaste avec Romain Rolland, consécutive à son entrée à Normale supérieure en 1895, ne résista pas au déclenchement de la Première Guerre mondiale. En 1912, Gillet était nommé conservateur du musée de Chaalis, donné la même année par Mme Jacquemart-Andréà l'Institut de France. Il traduit en 1926 les Peintres italiens de la Renaissance de Bernard Berenson (voir la notice consacrée à ces ouvrages). Il succède au peintre Albert Besnard à l'Académie française.
Figure emblématique de l'"écrivain d'art", Louis Gillet (1876-1943) collabora pendant près de quarante ans à la Revue des deux mondes (1904-1943). L'art et la littérature étrangère constituaient les deux domaines privilégiés de ses chroniques, réputées et appréciées pour leur culture humaniste. Son amitié enthousiaste avec Romain Rolland, consécutive à son entrée à Normale supérieure en 1895, ne résista pas au déclenchement de la Première Guerre mondiale. En 1912, Gillet était nommé conservateur du musée de Chaalis, donné la même année par Mme Jacquemart-Andréà l'Institut de France. Il traduit en 1926 les Peintres italiens de la Renaissance de Bernard Berenson (voir la notice consacrée à ces ouvrages). Il succède au peintre Albert Besnard à l'Académie française.